Martin Drolling (1752-1817), peintre français, s’est fait remarquer pour ses portraits et ses scènes de genre. Inspiré par les maîtres flamands, il maîtrisait l’art de capturer des expressions naturelles et des détails minutieux, comme en témoigne ce portrait d’une grande délicatesse.
Huile sur toile portrait d’Anne-Marie-Louise d’Orléans duchesse de Montpensier (1657-1693), d’après le portrait réalisé par l’atelier de Charles et Henri Beaubrun, vers 1660.
C’est un exemple raffiné de la peinture française du premier tiers du XVIIe siècle. Il présente une femme de haute société, probablement Madame d’Arjuzon, dans une pose élégante et noble, vêtue de riches atours et parée de bijoux somptueux.
Le décor de cette commode s’inspire notamment des motifs de la porcelaine Kakiémon, réputée pour ses représentations délicates et colorées d’éléments naturels, comme les oiseaux et les fleurs, emblématiques de l’art japonais.
Lustre de palais à 12 lumières, structure en fer, perles en verre bullé taillé, perles raisins, toutes pièces d’origine.
Piemonte, Italie
XVIII siècle
Les animaux semblent presque humanisés, certains regardant directement le spectateur, avec des expressions qui dégagent une forme d’intelligence et de sensibilité, ajoutant une dimension poétique à la scène.
École Italienne
Fin XVII- début XVIII siècles
Portrait de la princesse Anne-Géneviève de Bourbon, duchesse de Longueville (1619-1679), fille du prince de Condé et de Charlotte de Montmorency. Huile sur panneau octogonal par Jean Ducayer, peint d’après une œuvre de François Clouet.
Vers 1640
Chien porte-parapluie, travail de la forêt noire.
XIX siècle
Suisse
Important trumeau de boiserie en bois doré et sculpté, glace au mercure.
XVIII siècle
Italie