Aquarelle sur papier « Portrait de Charles Charpentier » commissaire priseur, fils du peintre Jacques Denis Charpentier fait par sa soeur Céleste Charpentier en 1830 avant son mariage avec mr. Grégoire Collas, documenté au dos, signé et daté en bas à gauche, bel encadrement à vue ovale d’origine.
Circa 1830
France
Ce tableau, situé dans l’entourage du peintre flamand Frans Snyders, illustre une scène animalière pleine de mouvement et de vivacité. Deux chiens jouent ensemble avec énergie, l’un renversé sur le dos tandis que l’autre semble le dominer, dans une interaction typique du monde animal. À droite, un chat observe la scène avec méfiance, prêt à réagir au moindre imprévu.
Huile sur toile représentant un dogue et ses chiots dans une dépendance, d’après l’original de Christophe Huet (1700-1759) se trouvant dans la collection privée du comte Alarico Palmieri.
XIX siècle
Angleterre
À droite de la composition, des détails soigneusement intégrés enrichissent l’œuvre : une étagère avec des livres reliés, une maquette sphérique, une carte ancienne et une lettre. Sur cette dernière, une inscription précise permet d’identifier le sujet : « All’ Illustrissimo Signor », suivi de « Il Nobile Signore Gio Giacomo Marastoni ».
Peinture à l’huile sur zinc « Portrait de femme ».
XVIII siècle
France
Miniature sur ivoire « Portrait d’un garçon », signé E. Mattey, inscription au dos: » Etude de mademoiselle E. Mattey élève de Mr. Duchesne peintre de la cour de France sous Louis XVIII Charles X et Louis Philippe.
XIX siècle
France
L’original, conservé au musée du Louvre à Paris, met en scène une Vierge Marie auréolée d’un diadème bleu, symbole de pureté et de royauté céleste. Elle tient l’Enfant Jésus avec une tendresse poignante, tandis que le petit saint Jean observe avec dévotion, formant une composition empreinte de douceur et de mysticisme.
Martin Drolling (1752-1817), peintre français, s’est fait remarquer pour ses portraits et ses scènes de genre. Inspiré par les maîtres flamands, il maîtrisait l’art de capturer des expressions naturelles et des détails minutieux, comme en témoigne ce portrait d’une grande délicatesse.
Huile sur toile portrait d’Anne-Marie-Louise d’Orléans duchesse de Montpensier (1657-1693), d’après le portrait réalisé par l’atelier de Charles et Henri Beaubrun, vers 1660.
C’est un exemple raffiné de la peinture française du premier tiers du XVIIe siècle. Il présente une femme de haute société, probablement Madame d’Arjuzon, dans une pose élégante et noble, vêtue de riches atours et parée de bijoux somptueux.